Un centre médical complètement dévasté par des troubles interethniques. Des malades égorgés, un personnel pris en otage, puis la fuite de près d’un millier de personnes à travers la forêt avec, à leur tête, le médecin-chef Rémy Toko. Et Dieu dans tout cela ? La guérison a pris du temps. Six ans après, le deuil est fait. Restent les cicatrices. Et l’assurance d’avoir été porté par la prière malgré tout. Témoignage de Rémy Toko, un Congolais qui a participé au lancement du livre « Parole aux pauvres » publié par la campagne StopPauvreté.2015, le 6 novembre dernier.